Une très vaste étude menée récemment démontre que bon nombre de chirurgies cardiaques, comme l’insertion de stents, une angioplastie ou un pontage, ne sont pas nécessaires et peuvent en fait être néfastes. Cette étude a été réalisée à un coût de quelque 100 millions de dollars en fonds publics. WOW!
La partie la plus intéressante concernait les résultats obtenus « par médicaments seulement », qui au bout de plusieurs années étaient les mêmes que ceux obtenus par chirurgie, mais sans les risques associés auxhospitalisations et aux complications postopératoires. L’amélioration de la qualité et de l’efficacité des médicaments d’ordonnance a probablement contribué grandement à améliorer sensiblement ces résultats.
Une poursuite intentée récemment aux É.-U. allègue que « la recherche délibérée de profits substantiels a motivé l’hôpital et les médecins à pratiquerun nombre démesuré de chirurgies cardiaques très lucratives, qu’elles aient été nécessaires ou non ». Chez Medipac, nous le voyons souvent — on prépare un patient pour une chirurgie, mais les examens rigoureux indiquent qu’il s’agit d’une « mauvaise » décision médicale. Nos médecins savent ce qui est bon et ce qui ne l’est pas et nous avons chaque jour des discussions intéressantes avec des médecins américains.
La dure réalité du monde de l’assurance voyage médicale, c’est que nous devons protéger nos clients, surtout dans certains pays étrangers. Voilà pourquoi Medipac emploie des médecins et des infirmières. Nous vérifions l’ensemble des tests et données avant d’accepter que vous « passiez sous le bistouri », comme on dit. Pour convaincre ces praticiens, nous leur expliquons que nous payons la facture et que nous ne paierons que si la chirurgie est nécessaire du point de vue médical. Ce qui fonctionne… la plupart du temps.
Lorsque votre médecin vous dit à votre chevet que, à son avis, vous avez besoin d’une chirurgie (quelle qu’elle soit), vous devez être prudent. Sachez qu’il pourrait ainsi gagner 50 000 $ ou 100 000 $, voire même 500 000 $ en pratiquant une chirurgieinvasive. L’hôpital touchera aussi sa part, puisque vous devrez y rester au moins quelques jours de plus. Vous avez besoin d’undéfenseur! Et Medipac est votre meilleur allié.
J’ai parfois dit qu’il est illogique de souscrire une assurance voyage médicale auprès d’une banque,d’un club automobile, d’un agent d’assurance ou d’une épicerie. (Je devrais peut-être ajouter « un site Web » à cette liste, mais vous pouvez souscrire Medipac en ligne, comme vous le savez sûrement.)Les autres n’emploient pas de médecins ni même d’infirmières. Ils en ont peut-être un ou deux sur appel, selon ce qu’ils affirment, mais les urgences médicales surviennent AU PRÉSENT et il faut alors des réponses rapides et des résultats rapides. La plupart des entités ci-dessus externalisent leurservice d’assistance et même parfois leur service de règlement des réclamations. Ils pourraient avoir de la difficulté à confirmer si vous êtes assuré ou non.
Mon propos ici concerne la barrière linguistique qui se dresse entre les nombreux participants d’une urgence médicale. Par souci de cohérence et de sécurité, il faut un médecin pour parler à leur médecin, et non un préposé aux réclamations. Il faut un accès instantané à votre police et à votre couverture, ce qui peut prendre des heures avec certaines compagnies. Le service d’assistance doit autoriser les examens et les interventions afin de confirmer qu’ils sont couverts par la police. Qui le leur dira, et quand? Le service des finances d’un hôpital veut s’adresser à quelqu’un qui pourra autoriser ces examens et interventions, ce qui peut nécessiter de grimper plusieurs échelons hiérarchiques de la compagnie d’assurance. Il faut espérer que le responsable des finances de la compagnie d’assurance n’est pas parti dîner ou en vacances! Ces troisentités —la compagnie d’assurance, le service d’assistance et le service de règlement des réclamations — se trouvent souvent dans des villes différentes, parfois même dans des pays différents!
Une barrière linguistique se dresse ici. Beaucoup de compétences différentes sont sollicitées et je suis sûr que tous lesemployés font du mieux qu’ils peuvent, mais ils ne parlent pas la même langue. Ce qu’il faut, c’est que tout soit rassemblé en un endroit, avec unesolide expertise dans chacun des domaines en question. Une seule compagnie l’offre : Medipac International. Une seule compagnie, qui fait une seule chose, fait appel à un seul système informatiqueintégré, à un seul endroit, avec les meilleurs employés de l’industrie. Oh… et six médecins et plusieurs infirmières spécialisées en traumatismes et en soins d’urgence.
Joyeuses Fêtes! Nous, nous travaillerons, si jamais vous avez besoin de nous.